Recueil de Ridjie.

Ridjie a écrit:T'inquiète, t'es pas mon seul "fan" ! Enfin j'éspère ! xD
Pour le prochain récit, je vais t'éclairer sur ma petite idée...
Il sera positif ! Mais à ma façon ! ^^.
Je le poste dès que je l'ai écris ! (donc quand j'en aurais envie ! ^^).

Au Clair de Lune

Ses yeux s’injectaient de sang. Ses canines s’élargissaient et apparaissaient aiguisées comme des poignards. Ses oreilles ce redressaient et devenait de plus en plus volumineuses. Au bout de ces mains devenues poilues de longues griffes sales apparaissaient...
La pleine lune avait encore été traîtresse. Il c’était caché en forêt que personne ne puisse le voir. La bête en lui commençait à s’éveiller. Pourtant il ne le voulait pas, il en avait assez. Il en avait assez de ces nuits sanglantes où il égorgeait ces pauvres victimes sans défenses. Il tenta, une fois de plus de résister. Mais sa détermination n’était rien face à la faim de la bête. Celle-ci grogna, humas l’air de la nuit et ce redressa dans un hurlement.
L’appel de la chair fraîche était plus que jamais présent, même lui avait faim, chaque nuit la bête lui était de plus en plus familière et il ce laissait faire de plus en plus, lui laissant le libre contrôle. Après tout, il fallait bien quelque’ un en haut de la chaîne alimentaire. Et lorsque celle-ci l’habitait il avait en lui un sentiment de puissance et de liberté comme il ne le ressentait jamais sous son enveloppe humaine.
La bête tourna brusquement la tête. Elle avait entendue un bruit. Elle pris en chasse sa proie. Il n’essayas pas de la retenir, il avait faim lui aussi.
CRAC ! La pauvre biche n’eu pas le temps de s’échapper que la bête du Diable venait de lui briser le cou. Elle la mangea, mais son appétit fut loin d’être comblé. Ce goût était bien trop fade, seul la tendre chair humaine pouvait subvenir à son immense faim.
Un cri... un cri de femme, la bête courus à toute allure vers la provenance de ce hurlement.
« -Non arrête ! » lui disait-il.
« -Manges des animaux si tu veux, mais épargnes les humains ! ».
La bête continua sa course folle sans sourciller.
Des brigands entouraient la jeune femme. Elle était adossé à un tronc et n’avait aucun échappatoire possible.
« -Alors poupée, on refuse de faire plaisir au vieux Jack ? Tu ne veux pas nous montrer ta jolie poitrine ? »
La bête fonça droit sur eux. En un coup de patte elle fit voler la tête des malfrats pervers. L’autre essayas de dégainer son arme, il tiras mais aveuglé par la peur, manquas l’énorme tas de poils enragés. Elle lui transperça le ventre avec deux griffes, laissant ainsi cette petite merde agoniser au sol.
Ma petite soeur pleurait. Elle n’osa pas regarder le Loup-garou qui venait de lui sauver la vie mais qui allait bientôt la lui prendre. La bête laissa afficher un sourire de satisfaction laissant ainsi découvrir ces dents encore ensanglantées. Enfin elle allait pouvoir déguster de la chair tendre. Elle leva la patte afin de mettre fin à la misérable vie de la jeune fille, mais elle s’arrêta en plein mouvement.
« -Arrêtes laisse-là tranquille, ne la tue pas ! »
« -Tais-toi ! Tu es trop faible pour donner des ordres ! »
« Laisse-là je te dis ! Tu as assez mangé ce soir ! »
« -Je ne suis jamais suffisamment repus ! »
Il ne devait pas la laisser faire ! Elle ne devait pas tuer une aussi jolie jeune fille. Elle avait le droit de vivre !
« -Assez ! »
Pendant une fraction de seconde, la bête repris le dessus. La patte griffue tomba sur ma petite soeur qui mourut sur le coup...
« Non... NON ! NNNNNNNOOOOOOONNNNNNNNNNNN !!!!!!!!!!!!!!! »
Son cri s’accompagna d’un long hurlement. Il restas plusieurs heures, assis à côté corps inerte de la jeune fille. Il devait partir, courir, loin, très loin ! Le sang ne devait plus couler par sa faute. Pour la première fois depuis 6 ans, il avait le contrôle total sur la bête.
Et il courait ! Il ne savait pas où il allait, sans doute voulait-il s’éloigner du corps meurtris de ma soeur, honteux de n’avoir rien pus faire !
Il courais, s’éloignant ainsi de toute forme de vie. Il courait depuis une heure lorsqu’il vit la mer. Il ne pouvait plus courir, mais intuitivement, il savait qu’il avait atteint son but. Il était en haut de la falaise. Les rochers en contrebas ne lui donneraient aucun espoir de survie. Il voulait sauter, et mettre fin a ces 6 ans de massacres pour ainsi empêcher d’autres victimes innocentes.
Il prit son élan, courras brusquement vers la falaise mais s’arrêtas dans sa course. Le jour venait de ce lever. Il redevenait humain. Et comme a chaque matin de chaque nuit de pleine lune, il ce demandais où il était et ce qu’il c’était passer et comme a chaque fois il concluait qu’il avait dût trop boire.
Et moi, depuis cette nuit, je te cherches, armé de mon fusil a balles d’argent, n’aillant en tête qu’un seul but, t’ôtez la vie afin de venger la mort de ma soeur !